Gwen Jewel Sampé - La Sublima

"Elle se déhanche, se renverse, se tord, s’étire...tout son corps s’exprime. Les yeux fermés, seul le chant est essentiel. Son esprit n’est pas là. Elle est loin, très loin.  Et toujours ces doigts de la main droite qui errent sur un sax imaginaire."

“Rhino Jazz” par
Gaëlle Rémillieux, Jean Peret, Christophe Montméas

« Il semble que Gwen Sampé ne soit pas moins éclectique! D'origine américaine, mais installée entre Paris et Londres depuis de nombreuses années, elles s'est fait connaître comme compositrice/directeur d'une production basée sur les poèmes du poète nigérian Wole Soyinka, puis comme soprano dans des productions d'opéras de Benjamin Britten et Henri Purcell. Mais sa voix se fait particulièrement exceptionnelle dans les standards du jazz dont l'interprétation engagée qu'elle en donne la fait comparer  à Betty Carter. »

Festival Des Claviers en Poitou
Pierre Fournel

 

« Il suffira de quelques mesures pour comprendre que nous serons ce soir en compagnie d'une voix puissante et authentique, et d'une sensibilité à fleur de peau qui vient de loin...donnant l'impression trompeuse qu'il suffit de si peu pour émouvoir. »

Jazz Au Confluent
Alan Fell

« La voix de Gwen Sampé, feulement de chat,
puissance du swing,rocaille du rhythm ‘n’ blues.
Des dégringolades vertigineuses de l’aigu dans
les graves. Toute une vie... »

                                     Marie Perrin

La Tribune

         LE PROGRESS

 

« With the acrobatics that the singer performed on that evening, memories were evoked of jazz greats Bobby McFerrin and Lauren Newton. Sampé played with her voice as if it were an instrument which has a range covering a thousand tones of color and a sheer boundless register. 'Emotional' - the word has an unpleasant ring to it in this modern day, but it is of course so important because real experiences mirror themselves in it. And in this sense an emotional and even ecstatic effect was created by the singing of this artist from Houston, Texas, a true 'Orpheus', whose appearance must be rated as the high point of the festival.”

Christopher Schultz
Ludinghausen Festival